CHATEAU DE COMMARQUE
www.commarque.comHistorique : Très intéressant exemple d'architecture militaire des 12e et 14e siècles, déjà occupé aux temps préhistoriques. Au début du 12e siècle, la maison de Comarque céda le château aux chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem parmi lesquels Gérard de Comarque était entré. Les commandeurs de Saint-Jean le gardèrent environ un siècle. Pendant leur occupation, ils durent le fortifier, les vestiges les plus anciens remontant à cette époque présentant des similitudes avec certains châteaux de Terre Sainte. Au 13e siècle, la place forte fut cédée par échange à la maison de Beynac, qui se retrouva face aux possessions anglaises. La plus grande partie du château remonte au 14e siècle, contemporaine des guerres de Cent ans. En 1406, la forteresse fut prise par les Anglais. Plus tard, elle dut avoir son rôle dans les guerres de Religion, le château ayant été forcé en 1569 par le sénéchal du Périgord. Sous Louis XIII, la destruction totale fut envisagée, mais seules quelques défenses furent démantelées. Après la fin des guerres, la forteresse, inconfortable pour l'habitat, fut abandonnée. Campé sur un roc à flanc de coteau, le château est naturellement défendu sur deux côtés. Tours et donjon ont été disposés vers les points les moins bien défendus par la nature, et un fossé profond a été taillé dans le rocher afin d'en interdire l'accès. Le château comprenait plusieurs enceintes. La forteresse proprement dite est située à la pointe du rocher, formant un quadrilatère. Le donjon est placé à l'angle le plus faible. Une courtine défend le côté sud. Le nord et l'est dominant un ravin, magasins et habitations y furent placés. La forteresse était défendue, vers le coteau, par un ouvrage consistant en une enceinte de courtine avec une grosse tour près de la porte. Au-dessus de la porte se trouve la chapelle. La conception primitive date du 12e siècle et est sans doute l'oeuvre des chevaliers de Saint-Jean (similitudes avec certaines constructions militaires syriennes,
Read moreHistorique : Très intéressant exemple d'architecture militaire des 12e et 14e siècles, déjà occupé aux temps préhistoriques. Au début du 12e siècle, la maison de Comarque céda le château aux chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem parmi lesquels Gérard de Comarque était entré. Les commandeurs de Saint-Jean le gardèrent environ un siècle. Pendant leur occupation, ils durent le fortifier, les vestiges les plus anciens remontant à cette époque présentant des similitudes avec certains châteaux de Terre Sainte. Au 13e siècle, la place forte fut cédée par échange à la maison de Beynac, qui se retrouva face aux possessions anglaises. La plus grande partie du château remonte au 14e siècle, contemporaine des guerres de Cent ans. En 1406, la forteresse fut prise par les Anglais. Plus tard, elle dut avoir son rôle dans les guerres de Religion, le château ayant été forcé en 1569 par le sénéchal du Périgord. Sous Louis XIII, la destruction totale fut envisagée, mais seules quelques défenses furent démantelées. Après la fin des guerres, la forteresse, inconfortable pour l'habitat, fut abandonnée. Campé sur un roc à flanc de coteau, le château est naturellement défendu sur deux côtés. Tours et donjon ont été disposés vers les points les moins bien défendus par la nature, et un fossé profond a été taillé dans le rocher afin d'en interdire l'accès. Le château comprenait plusieurs enceintes. La forteresse proprement dite est située à la pointe du rocher, formant un quadrilatère. Le donjon est placé à l'angle le plus faible. Une courtine défend le côté sud. Le nord et l'est dominant un ravin, magasins et habitations y furent placés. La forteresse était défendue, vers le coteau, par un ouvrage consistant en une enceinte de courtine avec une grosse tour près de la porte. Au-dessus de la porte se trouve la chapelle. La conception primitive date du 12e siècle et est sans doute l'oeuvre des chevaliers de Saint-Jean (similitudes avec certaines constructions militaires syriennes,
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