Howard Roark, personnage tiré du roman « La source vive », est un architecte dans le New-York du début du XXème siècle. Passionné par son métier, il est porteur d’une vision, celle d’une nouvelle façon d’envisager son métier, et ses œuvres qualifiées alors d’innovantes, du fait de l’avènement d’une nouvelle technique, le béton armé, qui permet de construire différemment et d’innover. Howard ne se laisse pas influencer par les modes, les rapports de pouvoir ou de dépendance entre les hommes et les femmes. Il assume sa vision, en totale autonomie et a compris l’enjeu d’être utile dans un collectif, la société. Le parallèle avec l’évolution du métier du conseil paraît évident. Les nouvelles technologies, c’est le béton armé, qui vient changer le monde, la façon d’organiser la cité, l’économie. Le métier de consultant, c’est celui de chef d’orchestre, qui, après avoir défini une vision, sait agréger des savoir-faire, pour édifier et transformer. Le nouveau monde, c’est le New-York du début du siècle dernier. Les associés d’Howard Partners considèrent que tout un chacun possède un Howard, qui sommeille en soi, et qui ne demande qu’à se révéler. Considérant que chacun peut avoir un impact sur le monde, Howard Partners, plus qu’un cabinet de conseil, est une aventure humaine, révélatrice des hommes et des femmes, qu’ils soient collaborateurs ou clients, un « émancipateur » dans un monde en pleine mutation. En ce sens, Howard Partners fabrique de l’autonomie. Howard Partners incarne les valeurs d’un personnage visionnaire et émancipateur. Howard Partners, des consultants conscients de leur rôle. Leurs croyances : - L’humain replacé dans son écosystème est la clé de la transition - Chacun peut avoir un impact sur le monde, donc nous fabriquons de l’autonomie - La résilience de l’entreprise repose sur des individus dans un collectif qui donne du sens - Ne pas s’imprégner de la révolution sociétale, c’est se condamner - Technologie sans éthique n’est que ruine de l’humain